La fille qui venait de mettre en scène le dernier Marc Dorcel

Parce qu’un blog de fille commercialement viable comporte toujours, entre deux réclames clignotantes, une petite dose de coquinerie sexuellement correcte qui sait enchanter les lectrices et les faire délicieusement glousser derrière leur écran tandis que leur compagnon ronflote tendrement devant une émission d’AB Moteurs, une bière à la main…

La tante de Loutre est une femme merveilleuse.
D’abord, elle habite en Normandie.
Oui, je sais. Ça n’a aucun rapport. C’est juste que mon précédent billet racolait un max du côté de la Bretagne, alors aujourd’hui je me dis que si je pouvais tapiner un peu chez les normandes, j’augmenterais encore mon lectorat potentiel (et donc mes futures recettes publicitaires).

Donc la tante de Loutre habite en Normandie, dans une ferme remplie d’animaux.

C’est très, très con, ce que je viens d’écrire. Le rouge me monte aux joues, figure-toi, et en même temps je prépare ma défense en faisant appel à Georges Orwell, qui a écrit exactement la même connerie que moi, sauf que c’est devenu une référence incontournable en matière de littérature.
Bon, on va arrêter  de tourner autour du pot de yaourt, je voulais te parler de la brave Tata normande parce qu’en plus d’égorger divinement bien poules et dindons, de retourner les lapins morts comme des chaussettes et de noyer les chatons surnuméraires dans le ruisseau d’à côté, elle a un cœur d’or, comme toutes les fermières qui passent huit heures par jour les deux pieds dans la bou(s)e et les narines dans le purin.
Donc l’autre jour, elle a insisté pour nous refiler une magnifique yaourtière, vu que Loutre et moi on était en train de déraper sur une grande marrade concernant les bobos qui font leur pain eux-mêmes avec des machines hors de prix dans leurs lofts du Bas-Montreuil. Loutre et moi, on était pas charitables et on ricanait comme des hyènes de droite qui auraient soudain viré « gauche caviar » (ou le contraire, je sais plus), mais c’était drôlement bon d’être méchante.

Toujours est-il que la Tata-Du-Purin-Qui-Pue (on va l’appeler la TDPQP, parce que ça va plus vite et que les acronymes ça en jette toujours) nous a entendu rigoler sur les machines à pain pour riches et les cafetières Nespresso. Après, Loutre a dit que, quand même, ça serait rigolo d’avoir une yaourtière, rien que pour voir et pour essayer de mettre tout et n’importe quoi dedans. Ce à quoi j’ai répliqué, histoire de surenchérir, qu’en plus je pourrais en faire un billet sur mon blog de fille et que ça ferait sûrement couiner les lectrices attardées. Alors là, TDPQP, elle a débarqué dans la pièce avec un sourire tellement large sur son visage un peu chevalin qu’on aurait dit Roselyne Bachelot qui venait de signer un contrat méga-juteux avec un labo pharmaceutique.

(Tata): – Une yaourtière? En voilà une idée qu’âlle est bonne! V’nez donc vôar, justement j’en â une qui m’sert pus guère depuis la naissance de ta cousine, Loutre!
(Loutre): – Mais Tata…elle a vingt-cinq ans, ma cousine…
(Tata): – Déjà? Mais crénom, oui, c’est ben vrai! Euuuuh d’là, j’espère que t’as pensé à son anniversaire, qu’arrive ma foi à grands pas!
(Moi): – Tata, ce que Loutre veut dire, c’est qu’après vingt-cinq ans, la yaourtière doit être à peu près dans le même état que le sèche-cheveux que Claude François a malencontreusement fait tomber dans son bain en 1978…
(Tata): – Sèche-cheveux, mon cul. A’m’fera point croire ces billevesées pour midinettes, non plus! Un vibromasseur, qu’c’était, parfaitement!
(Moi): – ….
(Loutre): – ….
(Tata): – Bon, c’est pô tout ça, mais j’m’en vâs vous emballer l’objet bien comme y faut, z’allez voâr, c’t’un régal de préparer ses machins bulgares avé le lait de ses bestiaux à soi!

Toujours est-il qu’on a récupéré la yaourtière de Tata.
A’gade, elle a pas pris une ride, on se croirait dans le HLM de mon enfance et on imagine bien le téléviseur Pathé Cinéma posé sur le buffet du salon qui diffuse « L’Académie des Neuf » pendant qu’une carafe remplie de Tang achève de buller sur la table du salon et que des gamins en pantalons pattes d’eph’ braillent que « l’araignée, l’araignée, est tombée dans la purée »…

Ouais, c’est un objet top vintage, fashion et tout, tu peux l’assortir au grille-pain de l’époque (même couleur à vomir, même marque parce que « Seb, c’est bien ») et même aux murs de ta cuisine, pour peu que tu aies envie de remettre les immenses fleurs maronnasse-orangeasse-jaunasse  de la jeunesse de ta maman (la période où toi tu volais les vignettes Panini de tes petites copines ou de tes copains, selon que tu étais fan de Candy ou de Goldorak).

Bon, de notre côté, tu penses bien qu’on a quand même testé la bête entre deux fou-rires très cons.

Alors, comment dire?
On a bien tout fait comme ils disent dans le mode d’emploi (qu’est d’époque tout pareil), mais au bout de 72 heures dans le frigo, ben force est de constater que nos yaourts ressemblent étrangement à des dons généreux et désintéressés stockés dans les armoires réfrigérées d’un Cecos et destinés à des couples infertiles. Limite, quand je me suis dévouée pour en goûter un, j’avais l’impression d’imiter Brigitte Lahaie dans un vieux Marc Dorcel top-rétro (avec les fleurs maronnasse-orangeasse-jaunasse en guise de décor, mmmmm, collector!) et je croyais presque entendre le curé de la paroisse d’à côté hurler « Sale, sale, SALE! » dans mes oreilles pourtant bien chastes (mais en même temps, le curé de la paroisse d’à côté, vu sa tronche quand je le croise à la boulangerie de m’âme Nedelec, je suis pas persuadée qu’il soit bien net, je le vois plutôt bien faire des prêches du genre « Saint, Saint, SEINS est le nom du Seigneur! », tu vois?).

Tout ça pour dire que moi, la yaourtière, j’y touche plus, ou alors pour faire des effets spéciaux d’enfer dans un remake de Parties Fines de l’inoubliable Gérard Kikoïne.
A ce propos, d’ailleurs, on fait un casting pour le projet, si tu aimes le yaourt fait maison, les décors à chier, les dialogues consternants et les pseudonymes mémorables comme « Élise Ebel » ou « Harki Kou », fais-toi connaître sans hésitation, la fortune et la gloire sont peut-être au bout du tunnel chemin.

Catégories : La meilleure façon de foirer une omelette nature | Étiquettes : , , , , | 62 Commentaires

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62 réflexions sur “La fille qui venait de mettre en scène le dernier Marc Dorcel

  1. « V’nez donc vôar », ça, ça sonne Pas-de-Calais
    « Euuuuh d’là » ça c’est typiquement normand
    « avé le lait de ses bestiaux à soi! » là pour le coup ça sent plus le Sud…
    Dis-moi, ça a du fauter grave dans la famille de Loutre pour avoir des accents pareils …

    Sinon, pour le plan film, Pute me disait justement pas plus tard qu’hier soir à quel point il kifferait côtoyer le monde du X. Alors, tu le connais, c’est un beau bestiau qu’il est bien charpenté, avec des poils et tout ce qu’il faut. Je te l’envoie par la Poste ASAP.

    • Frida, testeuse de bestiau

      Oh, oh, oh, faudrait voir à pas s’emballer !!
      Moi, La Chose, je dis que c’est bien beau ce qu’elle raconte la féline, mais la charpente faut la tester pour être certain que ça s’éffondre pas à un moment, et les poils, itou, faut tester aussi la solidité, parce que si ça casse… et bien voilà, si ça casse… c’est cassé. Idem pour la poste ASAP. Sinon, tu risques d’avoir des ennuis avec les assurances, et ton film, ça va être une catastrophe naturelle. Alors moi je dis qu’il faut tester le bestiau avant…

      • Frida, Frida, Frida…

        Pute est perché 18 mètres au-dessus du sol à l’heure où j’te parle. Il fait ça toute l’année, même par -15°. Il monte rien qu’à la force de ses bras qu’ils sont en titane, avec sa grosse tronçonneuse. Si tu crois que c’est du carton-pâte, tu te fourres le doigt dans la chatte. Quant aux poils, que dis-je, au putain de pelage, même un pull en mohair il te tient pas aussi chaud.

        Tu dis rien que des méchancetés tout ça pour le tester, Pute…

      • Comment dire?
        Passe devant, chérie. Tu sais que les poils et la charpente XXL, c’est pas ma tasse de thé.

    • Concernant ta diatribe sur les accents, j’te conseillerais bien d’aller bleuner au fond de ton bled, au lieu de venir boucaner par ici, hé, couillonne.
      Pour ce qui est de Pute, oui, sans hésiter je l’embauche, à côté Rocco c’est Michel Blanc dans Les bronzés.

      • Frida, qui commence déjà à courir sans qu'on lui demande rien

        @ Vieux Felin : évidemment que je dis ça pour le tester, tu crois quoi ? En attendant, j’ai beau dire, je teste que dalle. Où qu’il est le Yéti ?

      • Parlons d’abord argent, si tu veux bien, après on parlera possibilité de coup dans la motte.

  2. Frida, spécialiste de la brouette corse

    Ah ben moi, dès que ça cause yaourts, et que je peux rendre service, j’accours. D’accord, je vais pas pouvoir être la fille aux gros seins avec le yaourt qui dégouline tout joliment entre ses deux collines laiteuses, pendant que des mâles lubriques mais fort néanmoins sympathiques, amateurs de produits lactés , se pourlèchent les babines… d’accord, je vais pas non plus pouvoir faire la fermière qui coince l’asperge de son étalon entre ses deux sillons et qui attaque le laboure, la fleur sur le mamelon XXL… mais je peux faire plein d’autres choses très utiles. Là tout de suite, je saurais pas trop dire quoi, mais quand même je peux être très utile des fois. Même à la campagne.

    Y’en a marre des filles aux gros seins.
    Bordel.
    Marc Dorcel = petite bite.
    Et toc.

    • « Y’en a marre des filles aux gros seins »
      Ça dépend pour qui, Frida, ça dépend pour qui.
      Mais passons! Toi, tu es de toute façon toujours utile, surtout avec du yaourt nature au lait de brebis corse, donc je t’embauche immédiatement.

      • Frida, de retour après une rude journée

        Je m’en vais créer un goupe sur Facebook. Na.

  3. Je viens de me rendre compte que le pseudo « Elise Ebel » est presque déjà pris: en fait c’est « Louise Ebel », au temps pour moi. Je mets pas le lien, hein, vous trouverez tous seuls (Google est votre ami)

  4. « avé le lait de ses bestiaux à soi! »…

    Vous n’avez quand même pas trait la chatte ?!!

    • Putain, comment ça devient graveleux, tout ça…
      (par contre merci pour les mots-clés, je sens qu’on va péter un score, question frustrés du poireau…)

  5. V’zêtes déchaînés tous ce matin!!! Un blog de fille ne doit-il pas être grand public (et chiant)?
    (tu nous feras part des recherches gogole arrivées ici, hein?!!)

    • Frida, qui ferait mieux de bosser au lieu de traîner sur internet

      Mais c’est grand public… tiens moi par exemple, 1,70 mètres de bonne humeur, d’intelligence et de beauté, qu’est ce que tu veux le plus ?!
      Par contre pour ‘chiant’ va falloir que quelqu’un d’autre se dévoue…

    • Eh bien, depuis le début de la joute verbale entre Frida et Vieux Félin, voilà ce que me donnent mes statistiques en temps réel: « bête de sexe », « brouette corse », « bite », « touche-toi » et « traire la chatte » (ça c’est Jean Balthazar, on l’applaudit bien fort).
      Voilà. Moi je mets la clé sous la porte et je me barre à Tachkent.

  6. Frida, qui court toujours

    @ Vieux Félin : évidemment qu’il faut qu’on cause argent, tu crois quand même pas qu’en plus de le transformer en bête de sexe, le yéti, et de lui apprendre tous les secrets de la brouette corse qu’il te faudra dix générations pour me remercier, je vais faire ça pour rien… nan mais oh… les tests, c’est toujours rémunérés. Faut bien que j’aille en vacances moi, cet été.

    • Comment te dire à quel point tu te touches, ma Frida Chérie. Jamais de la vie tu lui apprends un truc, c’est l’amant parfait. Et permets-moi, une fois n’est coutume, d’être crue, sa bite, elle casse les parpaings. Rien qu’il te regarde, le gars, il t’encloque. Alors il vaut très cher, très, très, très cher.
      Allonge l’oseille.

      • Frida, qui se touche, certes, mais avec plaisir

        Ouais, ben va falloir qu’il me regarde pas de trop près, parce que les cloques, moi j’aime pas ça. Et puis sache que vu mon grand âge, donc ma grande expérience, et mon imagination débordante en matière de sexe, crois-moi j’en ai surpris plus d’un.
        Sinon ça cause beaucoup mais j’ai toujours pas les preuves… envoie les photos des parpaings, que je constate par moi-même…

        Qué oseille ? La Chose elle m’a embauchée, et puis aussi elle a embauché le yéti, et comme c’est pour faire un film sur les yaourts, et bien de toute façon le yéti et moi, c’est ensemble qu’on va les manger nos yaourts ratés. Et toc. Toi t’auras plus qu’à nettoyer la yaourtière.

        • Un film sur les yaourts…Frida, le Yéti…Mmmmm…attends, attends…Y’a comme une étincelle qui se fait, là…Avec la chanson « j’ai faim de toi » qui a donné « Chambourcy oh oui« …
          BRILLANT, Frida!!! On tient un best-seller du porno-chic alimentaire!

        • C’est pas de sa faute si il a un sperme bionique, Pute. Et voilà l’état du truc après coup de bite bionique:

          Sinon, Pute me demande si tu veux bien te déguiser en ça, pour le tournage:

          Tu nous tiens au jus.

          • Frida, hilare

            Même pas peur. Y’a aucun souci pour les déguisements. Mardi matin j’ai passé deux heures sous un sac ikéa en carton déchiré, planquée dans une bagnole à guetter je peux pas te dire pourquoi ici, mais bon. Il y a une semaine, j’étais en triple tutu et maquillée comme une pétasse pour faire une blague à mon prof de karaté. Il y a deux mois, j’ai fait un striptease pour un anniversaire, habillée comme une vieille prostituée sur le retour, et samedi soir je suis en djélaba… et oui, y’a des photos à chaque fois et des vidéos, et non ce n’est même pas mon métier… alors pour ce qui est des déguisements, je suis toujours partante. Et si tu veux un duo je te prête même mon frérot…
            http://www.dailymotion.com/video/xafueo_my-brother-un-travelo-nommé-désir_fun

  7. Charles-Marie

    On a eu la même à la maison. A peu près à l’époque où je collectionnais les images panini Olive et Tom. Et ça marche toujours?

    Ceci dit, je me souviens qu’on avait eu à peu près les mêmes problèmes, résolus avec l’adjonction de champignons spéciaux pour la fermentation, qu’on gardait au congélateur, ce qui donnait à la fin des yaourts potables.

    Bref. Pour une fois la nostalgie bat dans les coeurs en même temps (cf note de Boulet du jour, peu ou prou).

    Sinon, pour les remakes de Marc Dorcel, j’ai bien peur de n’être pas capable de grand-chose devant une caméra (bien que n’ayant jamais essayé). Par contre je veux bien faire le fournisseur de M&M’s bleus (Viagra, Cialys à prix réduit, merci qui pour les mots-clefs?) si vous en avez besoin. Mais avec une pornstar comme Pute, j’ai comme l’impression que ça va être superflu…

  8. Toi je ne sais pas, mais moi je me sens déjà aussi vieux que ta yaourtière :
    http://www.bouletcorp.com/blog/index.php?date=20100304

  9. Euh..il a un peu raison Charles-Marie..t’aurais pas oublié de mettre des ferments (en poudre achetés chez le pharmacien, ou alors, issus d’un autre yaourt déjà « yaourtisé ») dans ton machin ?
    (désolée, je n’apporte pas ma pierre à l’édifice de la recherche internet dégueu)

    (vous vous débrouillez tous très très bien sans moi)

  10. Salut,

    Tiens c’est très bien ici, avec toutes les cochoncetés de Vieux Félin et de Frida. Je reviendrai.

    Faire des yaourts dans un frigo ?!! Non mais ça va pas la tête ?

    Les ferments ont besoin d’une température aux alentours de 45°C pendant plusieurs heures pour se reproduire. Au dessous de 40°C, ils restent en sommeil. Au dessus de 50°C, ça les tue.
    Déjà, premièrement, une yaourtière ça ne sert à rien (comme la machine à pain d’ailleurs).
    Tu prends un litre de lait (frais de préférence et de production locale, ce qui ne te poses pas de problèmes apparement), tu le fais bouillir, puis réduire pendant une demi-heure à feu doux (ce dernier point n’est pas obligatoire mais le yaourt sera plus ferme).
    Tu le laisses refroidir jusqu’à 45°C.
    En gros, quand tu peux laisser le doigt dans le lait sans te brûler, c’est bon.
    Tu peux aussi vérifier la température avec un thermomètre médical mais, une chose importante, il faut bien penser à le désinfecter avant… (et faire gaffe à ne pas l’exploser sinon ça fera du yaourt au mercure, que tu pourras toujours refiler à Vieux Félin…
    Euh… Non en fait : elle serait foutue de les donner à Grumeau).
    Le mieux c’est bien sûr d’acheter un thermomètre de cuisine.
    Tu mets un yaourt entier du commerce dans le lait chaud (ou les ferments mais vu le prix…) et tu mélanges le tout.
    Tu remplis tes pots (personnellement je fais mes yaourts dans un seul grand pot d’un litre et je me sers comme si il s’agissait de fromage blanc) avec ton mélange.
    Parallèlement tu auras fait chauffer de l’eau à 45°C dans une cocotte (ou à défaut dans une sauteuse, ou utilise ta yaourtière puisque tu en as une).
    Tu mets tes pots dans l’eau chaude (attention au niveau !).
    Tu fermes ta cocotte et tu la mets au four préalablement préchauffé à 45 °C.
    Tu laisses faire toute la nuit et le lendemain tu as tes yaourts (que tu peux mettre au frigo maintenant).
    Leur goût dépendra surtout du lait utilisé au départ (j’en ai fait avec du demi-écrémé UHT et c’est plutôt raté : peu ferme et très fade).
    Ensuite, tu te régales, surtout mélangé à la confiture d’abricot ou de groseille que tu as fait cet été.
    Pense juste à garder un yaourt pour la prochaine génération (jusqu’à 7 ou 8 fois : ensuite il faut repartir à zéro avec un yaourt acheté ou des ferments).

    Voilà, pour un premier commentaire ici, je suis plutôt content : je vais transformer ton blog en vrai blog de fille avec recettes de cuisine, shopping, patrons de couture, etc.
    Si tu es d’accord bien sûr.
    Oui ?
    Bon.
    La prochaine fois, je vous expliquerai comment faire du sirop de menthe avec de la vraie menthe séchée que le cousin a ramené du Maroc (pour la confiture, on verra à la saison).

    Bises,
    Fred

    • Fred, tes efforts pour faire du girly à chier sont louables et j’admire grave.
      Néanmoins, laisse-moi te présenter LE mec qui tient un blog de fille aussi consternant qu’un vrai blog de fille, il s’appelle Urban Dandy, je te laisse trouver son adresse sur Google comme un grand, tu m’en diras des nouvelles.

      • Oui bon. Pas de recette de sirop à la menthe alo(r)s ? (oui des fois je me prends pour Grand Corleone).
        Urban Dandy. Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Il n’y a rien à en dire… Si ?

        Pour le yaourt, si t’as une demi-heure à perdre, essaie quand même.

    • Vieux Félin, elle te merde, chéri.

  11. @ Vieux Félin, comm de 16h37 : c’est normal t’es une merdeuse. Et tu t’arranges pas : après les « Trop bien » et les « ça farte », voilà les « Haaaaaaaaaaaaaan ». Et tu dis que c’est Grumeau qui a un problème ?

  12. Message à caractère personnel et culinaire :
    Fred > je suis intéressée par la recette de sirop de menthe avec de la vraie menthe séchée (que je ne manquerai pas de ramener du Maroc le mois prochain…)

    • Frida, patisserie en tout genre

      Moi si tu veux, je connais une super recette de fondant au chocolat… nan mais vraiment je suis trop une fille intéressante.

    • Euh… La Quiche, là j’suis embêté, ne te connaissant pas encore. La recette, tu la veux au premier ou au second degré ?

      • 1er degré, Fred, 1er degré!
        (Meuh si on se connait, dans une vie antérieure, pour ce qui me concerne)

      • La Quiche ? Eurêka, c’est toi ?
        Merde alors. Bon ben je retire ce que j’ai dit sur l’embêtement, mais je laisse la question sur le degré de la recette.

  13. Frida, pour le coup, sans voix

    Qué scato ? Je ne sais pas ce que tu mets dans ton fondant au chocolat, toi, mais surtout, ne m’invite pas à dîner…
    Beurk.

  14. Bon ben La Quiche, la recette du sirop à la menthe je la mets ici, au risque de faire hurler la patronne, ou chez toi ?

    • La Chose > pardon pardon pardon (flagelle flagelle flagelle)
      Fred > chez moi, j’aime pas fâcher la patronne, et à mon avis, elle doit être plus J*t 27 ou 31 que sirop de menthe… (quoique la recette est peut-être adaptable?)

  15. Bon, ben 50 commentaires dont 90% hors-sujet et des mots-clés sexuels, c’est plutôt positif: le Pas Blog est en bonne voie de fashionisation.

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